Collection Histoire Courte. LÉloge De La Fessée (1/1)
Quand jentends à la radio que certains pensent interdire la fessée, ils ignorent quils risquent de menlever la source du plaisir de ma vie.
Au plus loin où je remonte dans ma mémoire, je vois régulièrement la main de mon père me frapper le postérieur, jignore si au début je lavais mérité, mais par la suite je faisais tout pour lexaspérer.
Jy arrivais sans mal surtout les jours ou travaillant en poste il finissait à 5 heures et reprenait à 14 heures, il appelait faire la culbute.
Cet horaire où il ne dormait pas se produisait une fois par mois, hélas.
Je dis bien hélas, car comme il se plaignait que je faisais du bruit juste ce quil faut pour le réveiller quand il se levait, il mattrapait et il me fessait.
Cela a duré jusquau moment où mon frère sen est mêlé, je venais de me faire tabasser, jétais recroquevillée sous la table de la salle à manger et je jouais à le provoquer, a-t-il compris ce quil faisait quand il a senti la main le saisir et une magnifique baffe lui caresser le museau.
Que tu nous touches encore une fois, je te coupe les couilles, idem pour maman, crois-tu que jignore ce que tu lui fais subir.
Laisse Vivian, avec ton père, cest mon affaire, sil vous touche encore, cest moi qui lémasculerais.
Il a pris cette menace très au sérieux et à partir de ce jour, javais beau tout faire, il faisait mine de me choper pour me mettre sur ses genoux et de me fesser, mais chaque fois il reculait.
Jétais frustrée et au fil du temps je me suis rendu compte que sa main sabattant par-dessus ma robe et ma culotte, mon père pour moi nétait pas pervers, mais simplement un homme ayant été élevé avec rudesse.
Jai rapidement compris quil compensait son humeur avec ma mère, quand elle a dit que cétait son affaire, jen ai eu confirmation un soir où je décidais de sortir avec mon frère me ravisant au dernier moment.
Je venais de mallonger sur mon lit, comme je le faisais fréquemment depuis que javais fêté mes dix-huit ans et que je sentais une impunité à jouer avec mon sexe, jétais vierge, mais jaimais caresser mon clitoris avec mon doigt jusquà avoir des frissons dans le dos.
Ça a commencé par ce quil semblait être une engueulade, mais cétait si fréquent chez nous quau début je ny aie pas pris garde puis une cavalcade avec des mots venus de la bouche de mon père.
Salope, tu vas ramasser, tu veux profiter de labsence des s.
Oui, tu ne mauras pas.
Tu vas voir, ton cul va rougir.
Je te tiens.
Ouille, ouille, ouille.
Jouvre ma porte discrètement, grâce à un jeu de glace, je vois le salon où ils sont, maman est nue, le peignoir que je lui avais vu au moment où Vivian est parti, claquant la porte leur faisant penser que nous étions sorties tous les deux, est au sol.
Tu la sens celle-là.
Oui, continue, tu sens comme je mouille.
Va chercher le battoir, je veux éviter de me faire mal à la main comme la dernière fois, ton cul est de plus en plus résistant à la fessée.
Je vois, maman, se redresser, me faisant voir la verge doù je suis sortie tendue à mort.
Jentends ma mère farfouiller dans le tiroir et revenir avec le battoir à viande dune vingtaine de centimètres.
Laisse-moi te sucer, je veux profiter de ta verge.
Taratata, couche-toi sur mes genoux, tu veux retarder le moment où je vais te faire rougir les fesses.
Maman lui tend la planche de bois et se couche, le ventre comprimant la verge paternelle.
Combien de fois lève-t-il le bras, je ne saurais dire, ce que je sais, cest que ma mère se mord le poing pour éviter de hurler, chaque fois sa cible est atteinte.
Je me souviens dun jour où nous étions rentrés dun goutter Vivian et moi où notre mère nous a servi debout, déjà ce jour-là avait-elle ramassé, nous verrons bien ce soir.
Jétais loin dêtre ignorante des choses du sexe, mais voir ces deux adultes qui plus est mes parents, avoir de telles, dérivent sexuelles eus fait que pour la première fois, je me suis caressée manquant de hurler et ainsi de montrer ma présence.
Mon père certainement a le bras qui lui chauffe, car il laisse tomber le battoir, comme si le scénario était écrit, mère se laisse tomber au sol à genoux, elle prend la verge, la place dans sa bouche et je vois nettement le phallus descendre au plus profond de sa gorge.
Cest bien ma salope, jadore que tu me fasses une gorge profonde, oui, monte et descends lentement.
Toujours caché, un moment je touche la porte qui grince, je me jette en arrière quelques secondes, quand je repasse un il, je vois quils nont rien entendu sauf que la situation a évolué.
Ma mère sest positionnée à quatre pattes, mon père à genoux derrière elle doit la pénétrer, je vois quelle aime se faire prendre comme une petite chienne, il la pilonne à grands coups ses bourses devant taper là où elle doit avoir mal.
Cest un tout autre chant qui sort de sa bouche au point que jaurais aimé ressentir ce quelle ressent surtout que pour faire bonne mesure, il lui claque les fesses de nouveau à grands coups de sa main.
Ils jouissent et il la quitte pour partir dans leur chambre, elle le suit, je quitte ma cachette et jouvre la porte palière.
Salut, les anciens, je suis de retour, je vais dans ma chambre.
Le soir comme je le supputais, après le retour de mon frère, notre mère nous sert, mais est incapable de poser ses fesses sur la moindre chaise, tout juste peut-elle sasseoir sur les coussins du canapé pour regarder la télé.
Je suis fatigué, demain jai mon examen de fin dannée de coiffure, je vais pouvoir trouver du boulot et gagner ma vie.
Surtout ce que je veux, cest gagner mon indépendance, aussi quand Alban mon aîné de dix ans me propose de me passer la bague au doigt, je mempresse de dire oui et de minstaller avec lui.
Que dire de mon dépucelage faisant de moi une femme pleine et entière, pas grand-chose, tout juste une petite douleur, mais surtout un manque de connaissances de la fessée ?
Il faut dire que, rapidement, jai compris que javais épousé un ivrogne qui rapidement sest avéré incapable de me baiser, sous couvert de chercher du travail, il partait le matin chercher du boulot et rentrait complètement fait le soir.
Mon diplôme ne me permettait pas de trouver un emploi stable, tout juste des remplacements ou des coupes à domicile grâce à une concierge qui mavait prise en amitié.
Un jour, devant un restaurant-bar, je vois quils cherchaient une serveuse, je me présente, je suis engagée, rapidement jai compris que lendroit rapportait de sérieux pour boire à Adèle ma collègue.
Dès le premier service, les mains aux fesses par ces ouvriers de chantiers étaient habituelles, ses mains sur mon postérieur mont rappelé le plaisir quil me manquait de me faire fesser.
Ici, cétait autrement que ma copine se faisait de gros pourboires, je la voyais suivre des clients sans que le patron semble soffusquer, le lendemain je lai suivi, elle les suçait et empochait largent.
Jarrivais à huit heures, un jour où son cuistot était encore au marché et Adèle en retard, il ma reproché de lui avoir volé une sucette lui en déclarant trois alors quil est vrai que javais avalé quatre fois du sperme.
Il est sorti de derrière le bar avec en main, ce qui sest avéré être un nerf de buf, ma attrapé par le bras et sassaillant sur une chaise, il ma remonté ma jupette que nous devions mettre pour faire venir les clients et ma fouetté.
Cétait la première fois que lon me fessait le cul à lair et malgré la douleur, jai compris le plaisir que maman avait pris avec mon père lors de la séance avec le battoir.
Mon cul bien fessé et certainement bien rouge, il ma redressé, posé les fesses qui me brûlaient sur une table où je venais de mettre le couvert et il a fait sortir sa queue avant de me prendre, jétais trempé et comme il y avait plusieurs semaines quAlban était incapable de me baiser, jai joui aussi fort que ma génitrice.
Tiens, salope, jai récupéré les cinq euros que tu mavais piqué.
Largent que je me faisais me permettait de nous faire vivre, mon mari était cocu, mais comme fréquemment je faisais ce quil fallait pour retrouver le nerf de buf et la verge de mon amant, je trouvais un certain équilibre.
Ce que jignorais, cest que le bar était frappé de démolition et je me suis retrouvée à rechercher du boulot.
Jai bien retrouvé des clients du bar qui mont baisé dans leur voiture ou camion de service, ma logeuse a recommencé à me trouver du travail, jallais chaque mois chez un veuf pour lui rafraîchir sa nuque.
Dès la première fois, sur le côté dun meuble, jai remarqué un martinet, il avait dû servir, car il y avait deux lanières qui étaient coupées.
La troisième fois, il est allé chercher une serviette quil avait oubliée, je me suis saisi du martinet et jai essayé de me fesser avec du mal et sans me faire mal.
Aimes-tu la fessée ?
Jai reposé rapidement le martinet.
Naie pas peur, il servait à ma femme qui adorait la fessée, depuis quelle est partie, ça me manque, jadorais lui en faire jusquau jour où pour son anniversaire, elle ma offert ce martinet.
Vous me faite envie.
Il a quarante-quatre ans, j'en ai bientôt vingt, malgré lécart dâge, il me fesse autant que je le veux, le martinet, jaime bien quand il claque sur mes fesses.
Je finis par quitter Alban le laissant aller vers son destin, jai appris quil était mort un soir dhiver comme SDF derrière la gare, sa mort a été son seul fait darmes dans sa vie divrogne, il a fait la première page du journal.
Je reçois volontiers la main de mon nouveau mari sans oublier le martinet, vous comprenez le début de mon histoire concernant léloge de la fessée contre les pisses froides qui veulent linterdire.
Comme maman après quil mest fessé suivant mon envie, nous baisons comme des malades, il ma appris la sodomie, il me pénètre bien entendu après que jai fortement mal aux fesses.
Ma chatte lui va aussi, je viens de voir échographie de ma fille, mais sa future naissance ne nous arrête pas coter fessée, je viens de lui offrir une cravache bien souple pour Noël, le martinet ayant perdu encore trois lanières.
Je vous laisse, jentends quil rentre, je suis prête à essayer la cravache pour la première fois et vivre ma vie de femme fessée par plaisir.
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